Alimentation de survie

Vaut-il mieux du stockage de conserves (appertisé) ou de lyophilisés ?
Quelles quantités?
LYOPHILISES
http://www.lyophilise.fr/CT-541-bien-manger-en-situation-d-urgence.aspx
https://www.repas-lyophilise.fr/fr/
Ne pas oublier le “corned beef ” qui a nourri des générations de militaires et de civils après guerre.
LEGUMES SECS
http://www.maison-alex.com Mais il y en a plein d’autres…
pour une centaine d’euros : 20Kg riz, 20Kg pates, 20Kg lentilles, 20 Kg haricots secs, 10Kg farine, 10 kg dates ! stockés à l’abri des rongeurs et autres bestioles. on trouve tout ça emballé en sacs hermétiques. Avec ça, une personne seule mange pendant un an.
Les dattes sont un aliment extraordinaire…. pensez-y !
Pensez aussi à de l’ail en poudre ou lyophilisé, champignons idem ainsi que des oignons, ça améliore grandement l’ordinaire.
VIANDES SÉCHÉES
Jambons, saucisses, saucissons etc… Dans un grenier ou une cave adéquate, ça se conserve un an ou deux… Et quand c’est trop sec, on le fait bouillir avec des légumes secs.
FRUITS SECS
Abricots, bananes, figues, pruneaux…
Amandes, noix, noisettes, cacahuètes…
RATIONS DE SURVIE
Modèle BP-5 :
– 10 ans de conservation annoncés (25 ans en pratique)
– facile à stocker (emballages étanches, compact)
– complet et équilibré en vitamines
– pas besoin de cuisson
http://www.survivre.com/ration-d-urgence-bp-5-c2x11149310
Points de repères pour l’alimentation de survie :
– Les zones rurales sont à privilégier : au plus près de la production alimentaire.
– S’inspirer des anciens : comment faisaient-ils pour stocker leur alimentation et vivre en autarcie pendant plusieurs mois ?
– Accepter les nouveaux moyens de conservation alimentaire en étant conscient de leurs limites.
– Connaître les cinq facteurs principaux qui influencent la conservation des aliments : l’hygrométrie, la température, la lumière, l’oxygène, la concurrence.
– Connaître les principaux lieux de stockage de l’alimentation :
L’extérieur, la nature, les champs, la forêt, et le jardin avec sa serre, ses tunnels de forçage et ses couches froides ou chaudes (légumes vivants résistants au froid), ses locaux d’élevage (animaux vivants donc non périssables), ses silos à légumes enterrés, la flore et la faune sauvages, …
La cave (fraîche et humide) pour les légumes et certains fruits, la viande dans la graisse, les conserves, les boissons,…
Le cellier (frais ou tempéré mais sec) pour les légumes secs, déshydratés, lyophilisés, l’ail, l’échalote, l’oignon, certains fruits, les conserves, viandes séchées ou fumées, sels, farines, semoules, les confitures, les biscuits, huiles, vinaigres, rations de survie, …
Le grenier (fortes variations de température, bien aéré) pour les céréales, les eaux de vie, …
Le logement (tempéré voir chaud, sec) pour les épices, la consommation hebdomadaire, …
Le réfrigérateur tant que l’électricité est disponible pour les aliments périssables à court terme.
Le congélateur tant que l’électricité est disponible. Préférer un petit modèle.
La chambre froide auto-construite (ou congélateur HS) dans la cave et/ou le cellier à rafraîchir avec de la neige ou de la glace produites par la nature.
– Connaître TOUS les moyens de conservation des aliments : en l’état, enfouissement, déshydratation, lyophilisation, appertisation, fermentation, fumage, surgélation/congélation, etc, … et se doter du matériel nécessaire.
– Privilégier les aliments non transformés et sains, multiplier les variétés d’aliments,
– Transformer soi-même les aliments pour les conserver : déshydratation, appertisation, …
– Constituer un stock important d’épicerie : huiles, vinaigres, sels, épices, farines, nouilles, sucres, miels, …
– Prendre plaisir à ce mode de vie, cuisiner, inventer, essayer, s’amuser, s’entraîner, …
– En tirer un profit économique : profiter du meilleur rapport qualité-quantité/prix et des opportunités (soyez à l’affût des promotions, approvisionnement au plus près de la production), transformer des produits simples en produits plus élaborés, profiter des saisons, valoriser directement son travail = travailler moins pour le système et plus pour soi, monter son stock progressivement (rester zen, ne pas s’emballer, réfléchir avant d’acheter, devenir radin en pleine conscience), éviter de jeter (valoriser tout au maximum), …
– Suivant les dates de péremption : 3 mois de stock est un minimum, 2 ans de stock ça commence à être bien.
– Surveiller les dates de péremption sans les prendre au pied de la lettre (il y a une bonne marge de sécurité), stockez ce que vous aimez consommer et consommez ce que vous stockez, faites tourner vos stocks, …
– Privilégier les cuissons au bois et solaire, sinon au gaz, éviter tout ce qui est électrique. Augmenter la proportion d’aliments crus.
– Cultiver la discrétion et l’indépendance.
Merci Teutates , commentaire fort intéressant.
Quelqu’un pourrait me donner une réponse ??
– Comment générer une source d’alimentation renouvelable
autre qu’un élevage de poules ???
Faut-il installer une jardinière ? si oui, quoi faire pousser ?
Merci de communiquer les infos
Bonjour à vous !
Désolé pour la réponse très tardive 😉 nous allons étudier l’éventualité d’augmenter l’effectif pour être plus réactifs ma foi…
Si vous disposez d’un poulailler c’est super ! La pomme de terre en complément me parait une bonne option.
Ces articles pourrons aussi vous conseiller concernant l’autonomie alimentaire ; l’aquaponie avec pisciculture par exemple peuvent être très intéressantes dans leur complémentarité… bonne lecture/culture !
http://www.natura-sciences.com/agriculture/myfood-serres-autonomie-alimentaire.html
http://www.natura-sciences.com/loisirs/vers-l-autonomie-alimentaire-368.html
http://www.aquaponie.biz/